Le port du masque est BIEN SÛR nocif pour la santé !

Cet Article écrit parDr Pascal Sacré est tiré du site de Jean Dominique Michel

https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/09/16/le-port-du-masque-est-bien-sur-nocif-pour-la-sante-309118.html

Je mesure certes le risque de passer pour un opposant systématique, trouvant à redire à chaque mesure (ou non-mesure) prise.

Comment pourtant faire autrement quand les décisions questionnables se succèdent apparemment sans fin, affirmées avec le même aplomb péremptoire, y compris en l’absence de données probantes. Il est dès lors non seulement naturel mais encore légitime et même nécessaire de les questionner, sans concession.

En mars-avril, quand l’épidémie en était une, il nous a fallu gober docilement que les masques étaient strictement inutiles et que s’ils n’étaient pas rendus disponibles, ce n’était (bien sûr) pas parce qu’on n’en avait pas, mais parce qu’en porter n’aurait servi à rien.

Cette affirmation était bien sûr un mensonge d’état, les procès-verbaux des groupes de travail de la Confédération en ont témoigné.

Nous nous sommes ensuite déconfinés sans masques et, comme tout le monde a pu le constater, sans problèmes ni dommages.

Des mois plus tard, alors que le nombre d’hospitalisations et de décès reste aussi bas qu’il est possible, voilà qu’on sonne à nouveau l’alarme et nous impose soudain un paquet de mesures auxquelles le bon sens nous avait fait échapper, au premier rang desquelles le port du masque.

Ceci alors qu’aucune donnée sérieuse n’en a jamais établi l’utilité -quoi qu’en prétendent les autorités sanitaires dans l’affranchissement généralisé du réel qui prévaut désormais chez elles. La fameuse « méta-analyse » publiée (encore!) dans The Lancet est tout aussi défectueuse que la lamentable étude rétractée au sujet de l’hydroxychloroquine. Les lecteurs scientifiquement pointus peuvent s’en assurer ici.

En bref, cette étude de référence WHO-Lancet n’a apporté AUCUNE preuve sur l’efficacité de la généralisation du port du masque pour lutter contre le Covid-19.

Nos autorités se sont basées sur un rapport fortement biaisé et n’ont pas vérifié la pertinence et la justesse des informations.

Il n’y a pas que la course au vaccin, mais aussi la course aux mesures…

Les personnes saines se retrouvent à porter des masques sur la base d’erreurs multiples, publiées par le prestigieux « The Lancet ».

Aucune recommandation sensée n’a jamais prévu autre chose que le port du masque pour les soignants ainsi que pour les personnes infectées (et donc potentiellement contagieuses). Mais jamais (quelle idée!) les 99+% de la population qui ne sont ni infectées ni à risque de développer des formes graves du Covid.

Ceci alors que, bien sûr, bien sûr, le port du masque imposé à tous (y compris aux enfants !) a des effets néfastes sur la santé.

 

« New Normal » ou WTF ?!

Cette nouvelle absurdité est typique du « New Normal » d’une pensée absurde, aplatie, affranchie donc de la réalité comme des données de la science, correspondant aux lubies du moment de nos dirigeants.

Qui -qu’ils disent blanc ou noir- ne supportent plus la contradiction et veulent nous imposer d’avaler docilement leurs ordres indiscutablement infaillibles.

La réalité n’est pourtant pas très compliquée, même si elle semble leur être désormais hors d’atteinte : toute mesure en santé publique (s’il ne s’agit pas juste de souffler dans un pipeau) présente des avantages et des inconvénients, des coûts et des bénéfices possibles.

Tout l’art de gouverner intelligemment consiste à faire la bonne évaluation de chacune, dans une balance décisionnelle toujours complexe.

L’abus de langage et d’autorité consistant à prétendre que le port du masque est sans dangers est une très vilaine outrance de plus !

La vérité (l’OMS elle-même le dit sans ambage comme vous le lirez plus bas) est qu’il y a évidemment des effets indésirables et inconvénients potentiels au port du masque.

Ce qui ne veut pas dire forcément que son emploi soit inutile, mais que ces inconvénients sont à :

 

a) reconnaître pleinement et ouvertement, par honnêteté intellectuelle et honnêteté envers la population ;

b) évaluer dans leur gravité, en particulier pour certains groupes plus fragiles de la population (enfants, adolescents, personnes âgées);

c) pondérer en fonction des bénéfices attendus.

 

Ici, la population est à nouveau infantilisée, brutalisée, culpabilisée d’emblée sur la base d’un dogme inavéré. Les gouvernants et les « scientifiques » savent et ordonnent, que la populace et les manants obéissent !

Le dernier clip produit par le gouvernement français pour manipuler et culpabiliser l’opinion fracasse toutes les recommandations en vigueur en matière de programmes de prévention. Voici ce qu’en dit une spécialiste, médecin :

« Ce spot diffusé depuis ce soir est ignoble… Rendre entièrement responsable la population, et en particulier les jeunes de la dissémination de la COVID-19 auprès des personnes fragiles, c’est indigne !

La peur, l’infantilisation et la culpabilisation sont des moyens de manipulation honteux !!!

Plusieurs violations de la Charte d’Ottawa en terme de Promotion de la Santé: Médiation, acquisition des compétences individuelles, renforcement de l’action communautaire, élaboration de politiques de santé, etc. »

Voilà la communication toxique que nous devons continuer à subir, bien plus redoutable que les résidus de ce malheureux virus.

Pendant ce temps, des spécialistes nous alertent sur les dangers du port du masque. Avec des arguments puissants, dont le principal est qu’il s’agit d’un équipement chirurgical, fait pour être porté en salle d’opération, avec un protocole très strict. Employé comme il l’est par tout un chacun, il devient un nid à microbes évidemment nocif pour la santé.

 

Liste des effets nocifs / indésirables

Pour celles et ceux qui en douteraient, voici la liste de ces effets potentiellement nocifs donnés par l’OMS dans une circulaire du mois de juin :

 

Dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants :

      • risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées ;
      • auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes ;
      • mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé ;

 

Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : Orientations provisoires

      • lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ;
      • difficulté de communiquer clairement ;
      • sensation possible d’inconfort ;
      • fausse impression de sécurité pouvant conduire à un respect moins scrupuleux des mesures préventives qui ont fait leurs preuves comme la distanciation physique et l’hygiène des mains ;
      • port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant ;
      • problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entraîner une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement ;
      • difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale ;
      • désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par les enfants, les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales, les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives, les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques, les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillofaciale, ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide.

 

Cela veut-il dire que cette mesure soit systématiquement mauvaise, dans tous les cas de figure ? Bien sûr que non ! Je me suis opposé au vocable « anti-masques » employé par une presse désormais incapable de s’abstenir de raccourcis problématiques en soulignant que l’expression ne veut rien dire : qui serait par exemple opposé au port du masque en salle d’opération ?!

La question n’est donc pas masque ou pas masque, mais quand, où, comment, pourquoi, dans quel objectif et avec quels risques ? Ce type de questionnement pourtant basique semble un lointain souvenir désormais hors d’atteinte dans l’extinction du débat démocratique !

De nombreux médecins, heureusement, nous alertent sur cette absurdité « de plus », qui nous est présentée comme susceptible de nous protéger. Affirmation à ce stade parfaitement douteuse tandis que les dommages qu’elle provoque, eux, ne le sont pas !

Un constat devrait pourtant aider : les pays qui l’ont imposée le plus strictement ne connaissent pas de ralentissement du nombre de « cas », dont il convient par ailleurs de rappeler qu’ils correspondent dans leur immense majorité (du fait de la trop forte sensibilité des tests) à des personnes qui ne sont aucunement porteuses du virus ni contagieuses…

L’imposition du port du masque constitue enfin (faut-il le rappeler) une atteinte évidente au droit fondamental de respirer ainsi qu’à l’intégrité corporelle.

Alors que l’essentiel de la contamination s’effectue par les mains et que les seules mesures de protection basées sur des données probantes sont le lavage fréquent des mains et la distance physique, voilà qu’on impose même aux enfants de suffoquer à journée longue en milieu scolaire alors qu’il ne sont pas à risque d’être des vecteurs de contagion !

Pour les personnes intéressées à mieux comprendre ce sujet, je reproduis un article fort bien documenté que nous devons au Dr Pascal Sacré, médecin anesthésiste-réanimateur spécialiste en soins intensifs, qui fournit les éclairages nécessaires à se forger une opinion hors propagande d’état.

Bonne lecture et osons exiger de nos autorités qu’elles fassent marche arrière rapidement en annulant cette mesure portant atteinte à notre santé et, plus grave encore, à celle de nos enfants et petits-enfants !

 

 

Qui met nos enfants en danger, le SRAS-CoV-2 ou les mesures de nos gouvernements?

 

 

Les enfants et les adolescents sont-ils concernés par la COVID-19 ?

 

Port du masque obligatoire pour tous, notamment à l’école pour les enfants et adolescents à partir de 11 ans [1]. Distance sociale obligatoire. Lavements incessants des mains au moyen de gels hydroalcooliques.

Les jeunes doivent rester masqués et se tenir à distance de leurs camarades, sans compter la peur permanente de l’autre entretenue par toutes ces mesures extrêmes.

Plusieurs personnes compétentes, scientifiques, médecins, disent que la pandémie COVID-19 est terminée [2], que nous avons aujourd’hui un nombre élevé de tests PCR positifs parce que trop sensibles [3-4] mais que la maladie COVID, elle, disparaît comme en témoigne la diminution des décès et la disparition de malades graves ou même hospitalisés, notamment en raison des mutations du virus, devenu moins virulent [5-6].

Dans le monde :

(© Daily new confirmed COVID-19 deaths per million people, Our World in data, Europe, 13 Sept 2020)

 

Étant moi-même médecin hospitalier en soins intensifs en Belgique, je peux attester de la quasi disparition de la maladie COVID-19.

De plus, comme en témoignent dans cet article [7] les professeurs de pédiatrie Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie, et Régis Hankard, coordonnateur du réseau de recherche clinique pédiatrique Pedstart, la COVID-19 n’est pas une maladie qui concerne les enfants.

Ils sont formels : « la Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique ».

« L’idée qui se dégage de ces observations est qu’il ne faut surtout pas que les enfants fassent l’objet de mesures draconiennes, pénibles à vivre, qui pourraient bouleverser leur quotidien, alors que ce microbe ne les concerne que vraiment très peu. » [7]

Est-ce que porter un masque 8 heures de suite, voir son professeur masqué, être coupé de ses expressions faciales, de son sourire, être incapable d’entendre correctement ses explications, être frustré dans sa sociabilité pourraient correspondre à ces mesures draconiennes, pénibles à vivre qui pourraient bouleverser leur quotidien, alors que ce microbe les concerne à peine ?

Il est important de comprendre, au départ de plusieurs études réalisées dans différents pays que les enfants et les adolescents ne sont pour ainsi dire pas touchés par la maladie COVID-19 et que leur rôle dans la transmission du virus au sein de la population est minime [8-9-10-11].

Dans cette étude réalisée aux Pays-Bas :

« Le nouveau coronavirus est principalement disséminé entre adultes, et des adultes de la famille aux enfants » [12].

Pas l’inverse.

« Très peu de cas de transmission (de la COVID-19) ont été observés dans les écoles. » [13] 

Cela est encore confirmé ici : LES ENFANTS NE TRANSMETTENT PAS LE COVID19 :

400 articles confirment toussans exception, que la Covid 19 est rare et presque toujours bénigne chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école mais par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants est responsable de troubles psychologiques comportementaux et sociaux fréquents en plus d’une incidence négative évidente sur leur scolarité.

Comme le dit le docteur et épidémiologiste Antonio Lazzarino (University College London UCL Institute of Epidemiology and Health Care) en réponse à un article paru dans le British Medical Journal [14] (BMJ) :

« Avant d’introduire des mesures cliniques et de santé publique, on doit recenser et décrire tous les effets secondaires potentiels de ces mesures, et seulement ensuite, décider si elles sont plus bénéfiques que délétères. » [15]

Le port du masque facial peut donner un faux sentiment de sécurité [16].

Cet avis est partagé par l’Agence de Santé Publique au Danemark [17].

Le port d’un masque entraîne des problèmes d’hygiène qui surpassent largement le bénéfice de cette mesure :

Pour garantir l’efficacité d’un masque, les gens ne doivent pas toucher leur masque, doivent changer ce masque à usage unique fréquemment ou le laver régulièrement et correctement, le placer sur le visage d’une façon étanche, autrement les risques de contamination peuvent augmenter fortement. [18]

En 2015, une étude [19] s’est intéressée à la fréquence avec laquelle nous touchons notre visage (de manière très souvent inconsciente). Le sujet étudié était alors la transmission d’infections respiratoires et de staphylocoques dorés (bactéries beaucoup plus grosses qu’un virus).

(© Face touching : A frequent habit that has implications for hand hygiene )

 

En moyenne, nous touchons notre bouche 4x par heure et notre nez 3x par heure. Cela est augmenté avec le port continu d’un masque vu les irritations et les démangeaisons occasionnées.

Vous imaginez, avec des enfants ?

Cela pose d’autant plus un problème qu’on a montré que le virus SRAS-CoV-2 a tendance à s’accumuler sur la surface extérieure du masque [20]. Le virus va donc se mettre sur les mains et la contamination flambe.

Poursuivons dans cette démonstration que les problèmes liés au port obligatoire et continu du masque par tous, surtout par les enfants et les adolescents, est plus problématique que bénéfique.

Parler avec un masque peut amener à parler beaucoup plus fort, donc à projeter plus loin des gouttelettes au travers de nos masques, ou amener deux personnes à se rapprocher, oubliant la distance requise de deux mètres.

Le port du masque oriente une bonne partie de l’air exhalé vers les yeux, ce qui, en plus de générer une sensation inconfortable, peut amener à toucher davantage encore nos yeux, 3x par heure en temps normal, beaucoup plus avec un masque (source de contamination virale et bactérienne via les conjonctives).

Si les mains sont contaminées, alors vous le serez au travers de ce geste favorisé par le port du masque, et vous contaminerez tout ce que vous toucherez.

Les problèmes physiques et physiologiques engendrés par le port obligatoire et continu d’un masque.

Plusieurs médecins signalent chez enfants et adultes une recrudescence de problèmes infectieux cutanés (impétigo, infections staphylococciques) et oculaires (conjonctivites) qui sont loin d’être anodins.

Des médecins observent également une recrudescence de problèmes respiratoires de type bronchites asthmatiformes.

Tout cela est lié au port continu du masque.

Quoi que certaines personnes en disent, un masque facial surtout porté en continu rend la respiration difficile.

Pour les personnes atteintes de bronchopathie chronique obstructive (BPCO), personnes ayant déjà de base, au repos, des difficultés à respirer, les masques deviennent vite insupportables car ils augmentent leur sensation d’étouffement [21].

En outre, une fraction du CO2 expiré est réinhalé à chaque cycle respiratoire. Cet effet négligeable chez une personne en bonne santé peut occasionner des troubles chez des personnes plus fragiles.

La BPCO est caractérisée par un certain degré d’hypercapnie (élévation de la pression partielle du sang en CO2 ou capnie).

Ces deux phénomènes, sensation d’étouffer et élévation de la capnie, peuvent entraîner une augmentation de la fréquence respiratoire et une amplification des mouvements respiratoires, et donc augmenter la quantité d’air inhalé et exhalé à chaque respiration. Cela peut, paradoxalement, aggraver le risque de dissémination du SRAS-CoV-2 si une de ces personnes infectée ou porteuse du virus respire plus fort à cause du masque, ce que nous voulons justement éviter. Surtout, le masque, chez ces personnes BPCO infectées, peut aggraver leur état clinique, leurs efforts inspiratoires plus marqués pouvant introduire plus de matériel viral dans leurs poumons [15].

Il y avait 251 millions de BPCO dans le monde en 2016 [22].

De plus, malgré l’intoxication médiatique prétendant le contraire, oui le port continu d’un masque, encore plus s’il est porté correctement (étanche), pendant des heures, peut entraîner une baisse de la pression partielle du sang en oxygène ou PaO2.

 

Effets sur l’oxygénation

Une étude publiée en 2012 a évalué l’effet du port prolongé du masque chirurgical sur la santé de 53 chirurgiens turcs [23].

Il s’agissait de personnes en bonne santé préalable.

Ils ont constaté une augmentation de la fréquence cardiaque et une diminution de saturation pulsée en oxygène (SpO2 reflet de la saturation artérielle) dès après la première heure de port du masque, en comparant aux valeurs prises sans masque. Une faible variation en saturation en oxygène (SpO2-SaO2) peut refléter une large variation de la pression partielle du sang en oxygène (PaO2).

(© L’oxymètre de pouls )

 

Cette courbe est la courbe de dissociation de l’hémoglobine. La pression partielle en oxygène dans le sang artériel (PaO2) détermine la saturation (SpO2). Une baisse de SpO2 de 10 (100 à 90 %) correspond à une baisse de PaO2 de 40 (100 à 60 mm Hg).

Les chercheurs concluent que leurs résultats montrent l’impact clinique potentiel du port prolongé du masque sur la respiration.

La diminution de SpO2 était la plus marquée avec les chirurgiens âgés de plus de 35 ans.

Les masques créent un climat humide car l’air expiré est réchauffé et humidifié et cette humidité (vapeur d’eau) est captée puis concentrée par le masque, devant le nez et la bouche. Ce milieu humide est favorable au SRAS-CoV-2 qui reste actif et cela va augmenter la charge virale près du nez et de la bouche.

La première défense de l’organisme face à une agression notamment virale, ou bactérienne, est l’immunité innée. Celle-ci joue un rôle crucial et elle suffit, pour la plupart des gens en bonne santé, pour surmonter une infection, sans recours aux anticorps de l’immunité tardive spécifique. L’efficacité de l’immunité innée est inversement proportionnelle à la charge virale [24]. Plus la charge virale est élevée, plus l’immunité innée risque d’être dépassée.

Vous voyez comme le port continu des masques par tout le monde peut aggraver la contamination plutôt que la réduire ?

Les éléments suivants sont les plus graves.

 

Les problèmes psychologiques et mentaux engendrés par le port obligatoire et continu d’un masque.

L’impact psychologique !

Il manque dans les médias ou les rapports gouvernementaux une reconnaissance officielle de tous les effets délétères du port continu d’un masque, comme si le plus important était de tout faire pour amener la population à se laisser masquer, peu importent les conséquences.

Ceci concerne particulièrement les enfants et les adolescents dont le cerveau notamment émotionnel, relationnel, est en plein développement !

Les enfants dépendent largement des expressions faciales pour comprendre et appréhender leur environnement [25].

Cacher la moitié inférieure du visage diminue la capacité à communiquer, interpréter et imiter les expressions de ceux avec lesquels nous sommes en contact. Les émotions positives deviennent moins reconnaissables et les émotions négatives sont amplifiées.

Le mimétisme émotionnel, la contagion et l’émotivité en général sont réduits ainsi que les liens entre les enseignants et les étudiants, la cohésion de groupe et l’apprentissage – dont les émotions sont un moteur majeur.

Les bénéfices et les risques liés au port continu des masques à l’école devraient être sérieusement étudiés, considérés et rendus clairs et évidents pour tous les professeurs, parents et étudiants [26].

Sur un plan médical, humain, il est grave que nos gouvernants ne fassent pas état de ces complications et n’en tiennent pas compte avant de dicter leurs mesures à la population.

Des alternatives existent au port continu du masque.

Les particules virales présentes dans l’air sont sensibles à la température et à l’humidité ambiantes et sont inactivées par les rayons UV du soleil [27].

Elles seront plus vite diluées à l’extérieur.

Donner cours à l’extérieur ou dans des cours intérieures est une solution à envisager.

Cela est confirmé dans cette excellente revue à propos des masques, Mask Facts [28], parue sur le site de l’Association of American Physicians and Surgeons.

Le simple fait d’ouvrir une porte, une fenêtre permet la diminution des gouttelettes d’aérosols de virus de moitié en 30 secondes [29] !

Cela est encore affirmé par 241 scientifiques [30] mettent l’accent sur la nécessité d’assurer une ventilation de l’air correcte sur les lieux de travail, dans les immeubles, les écoles, les hôpitaux et les maisons de repos et de soins.

(© It is Time to Address Airborne Transmission of COVID-19, page 9 du PDF)

Ouvrez les fenêtres des classes et des études !

 

L’impact négatif à court, moyen et long terme des mesures antisociales de nos gouvernements.

Psychologues, psychiatres, pédopsychiatres, médecins généralistes connaissent les effets négatifs des mesures antisociales prises par nos gouvernants sur le développement et la santé mentale des enfants et des adolescents.

Plusieurs articles, études et recherches en attestent.

Dans cet article paru dans le Lancet Child & Adolescent health [31], les auteurs insistent sur l’impact dramatique des mesures d’isolement social sur les enfants et les adolescents.

Ils rappellent à juste titre que les interactions sociales font partie des besoins humains de base [32], comme de manger ou de dormir.

Vraiment, se sentir insuffisamment connecté aux autres est associé avec des conséquences négatives profondes et durables sur la santé physique et mentale, et cela peut même aller jusqu’à induire plus de mortalité [33].

Les effets négatifs des mesures antisociales pourraient affecter profondément les adolescents (âge 10-24 ans) [34].

Les adolescents sont à une période cruciale de leur vie, le type d’environnement social pèse énormément dans de nombreuses fonctions vitales comme le développement correct du cerveau, la construction saine du soi, et la bonne santé mentale [31].

Même des mesures antisociales temporaires peuvent avoir des répercussions négatives profondes et prolongées sur leur développement.

Et une virologue belge comme Erika Vlieghe voudrait garder masqués nos enfants et nos adolescents durant toute l’année scolaire ?

Le docteur Brett Enneking, psychologue pour les enfants au Riley Children’s Health aux Etats-Unis, insiste sur le fait que la partie inférieure du visage joue un rôle important dans le langage, la compréhension des émotions et la communication au sens large chez les enfants [35].

Troubles du sommeil, aggravation de troubles liées à la séparation, cauchemars et anomalies de développement font partie des conséquences à court et moyen terme de cet isolement social.  Certaines de ces complications apparaissent déjà, comme en témoignent des psychologues et des médecins.

D’autres répercussions plus graves sont à craindre, telles que dépression, suicide, décrochages social, scolaire, comme en témoignent les nombreuses recherches sur les conséquences négatives de l’isolement social sur le bon développement de l’être humain.

Il ne s’agit pas d’être anti-masques pour le plaisir de l’être, pour le plaisir de s’opposer à l’autorité sans autre raison, ou juste pour éviter quelques démangeaisons ou irritations.

Cet article documente tous les effets délétères graves que le port continu d’un masque et que les mesures antisociales imposées par nos gouvernants peuvent avoir sur la santé physique et mentale, en particulier des enfants et des adolescents.

Il faudrait donc que ces mesures en vaillent la peine !

Les gouvernants de même que les virologues qui les conseillent ne mentionnent jamais les nombreux effets néfastes de leurs mesures.

Ils ne donnent pas à la population une information complète et honnête.

 

En résumé,

Comme le disent d’éminents pédiatres et les recherches dans plusieurs pays, les enfants et les adolescents ne sont pour ainsi dire pas concernés par la maladie COVID-19. Ils ne sont presque pas atteints eux-mêmes et ne participent à la transmission du virus que de façon négligeable.

Le masque peut engendrer plus de contaminations par plusieurs mécanismes :

  1. En augmentant la tendance à toucher son visage, sa bouche, son nez, ses yeux.
  2. En favorisant la concentration des virus sur la couche extérieure du masque.
  3. En donnant un faux sentiment de sécurité.
  4. En générant des facteurs qui vont neutraliser l’effet protecteur du masque comme de parler plus fort ou de se rapprocher en-deçà de 2 mètres pour se comprendre.
  5. En surpassant les capacités de défense immunitaires innées en raison d’une charge virale plus importante et concentrée par le masque devant les voies respiratoires.

Les conséquences des mesures antisociales imposées, dont le port obligatoire et continu du masque ou la distanciation à outrance, sont néfastes et sérieuses.

Elles sont durables et importantes.

Elles sont physiques : impétigo, conjonctivites, bronchites asthmatiformes, difficultés respiratoires, céphalées (migraines).

Elles sont physiologiques : hypercapnie, hypoxémie, augmentation de la fréquence cardiaque.

Elles sont mentales, peut-être les plus graves surtout à l’âge de l’enfance et de l’adolescence, et comportent des troubles du sommeil, de la communication et de la maturation émotionnelles, de l’apprentissage, du développement cérébral et cela peut aller jusqu’à la dépression et à une surmortalité.

En milieu scolaire, il y a pourtant des alternatives réalisables comme la ventilation des espaces clos et la tenue des cours ou des études dans des espaces ouverts, comme les préaux ou les espaces en plein air.

Enfin, et c’est peut-être ce qui rend le plus le maintien des mesures antisociales du gouvernement incompréhensible et grave, c’est la notion dûment documentée que la pandémie COVID-19 semble disparaître à 5 mois du pic épidémique, comme le montrent les données cliniques (diminution des hospitalisations, des décès et des cas graves dans tous les pays européens) et les données biologiques (mutation du virus SRAS-CoV-2 vers des formes moins virulentes).

Au vu de ces faits, persister dans cette voie antisociale est, comme le souligne cet article de FranceSoir [36], de la maltraitance, en particulier pour nos enfants et nos adolescents.

Nous médecins mettons un principe au-dessus de tous les autres, au-dessus du principe de précaution.

C’est le principe d’avant tout, ne pas nuire (primum non nocere).

Aujourd’hui, en laissant nos gouvernements appliquer leurs mesures antisociales, ne faisons-nous pas plus de mal que de bien ?

C’est ce que pensent 70 médecins belges qui demandent l’abolition du masque dans les écoles [37].

C’est ce que pensent 70% des sondés dans un journal belge, en disant que les élèves devraient pouvoir enlever leur masque une fois assis en classe [38].

Espérons que ce ne soit qu’un début.

 

Dr Pascal Sacré

Photo en vedette : pixabay.com

Notes (Sources) :

[1] “Le port du masque à l’école? Peut-être durant toute l’année scolaire” , estime la virologue belge Erika Vlieghe. 

[2] Lettre ouverte des médecins et des professionnels de la santé à toutes les autorités belges comme aux médias belges. Au 10/09/20 : signée par 238 médecins belges, 804 professionnels belges de la santé, 4327 citoyens

Les médecins se manifestent massivement et exigent l’arrêt immédiat de toutes les mesures coronaviriennes : Dans le monde entier, nous assistons à une campagne de désinformation massive dans les médias grand public, qui mettent de côté tous les principes d’un état constitutionnel démocratique. Alors qu’énormément de collègues médecins présentent des points de vue médicaux différents, on ne les entend à peine dû à une censure sans précédent.
Les informations des experts et professionnels qui présentent une vue différente des choses, sont actuellement presque exclusivement accessibles par recherche ciblée sur Internet ou dans des sources d’information alternatives, et non pas dans les médias grand public.

Pays-Bas
Aux Pays-Bas, des médecins se sont unis et ont rédigé une lettre de protestation adressée à leurs collègues et au gouvernement, mettant en question la proportionnalité des mesures. Cette lettre, signée par plus de 800 médecins, vise à susciter un débat ouvert et sincère sur la manière de faire face à l’épidémie du covid-19. La pétition a désormais été arrêtée.
https://opendebat.info/

Une lettre de protestation de médecins et professionnels dans le domaine de la santé mentale, qui a déjà reçue plus de 2500 signatures.
https://brandbriefggz.nl/

États-Unis
Aux États-Unis un groupe de médecins qui travaillent sur le terrain et voient des patients tous les jours, se sont réunis dans l’organisation America’s FrontLine Doctors (Docteurs Américains de première ligne) et ont donné une conférence de presse qui a déjà été regardée plusieurs millions de fois. À voir absolument.
https://americasfrontlinedoctorsummit.com/
https://www.xandernieuws.net/algemeen/groep-artsen-vs-komt-in-verzet-facebook-bant-hun-17-miljoen-keer-bekeken-video/

Espagne
Une conférence de presse publique avec pour titre « A world dictatorship with a sanitary excuse » (Une dictature mondiale avec une excuse sanitaire) a été donnée par Doctors for truth (Médecins pour la vérité) à Madrid, devant environs 400 médecins et scientifiques.
https://niburu.co/gezondheid/15385-artsen-komen-massaal-met-coronawaarheid-naar-buiten

Allemagne
Un groupe international de médecins a initié des recherches extra-parlementaires suite aux mesures corona « exagérées et oppressantes » dans le but d’interroger mondialement des politiciens et des scientifiques.
https://acu2020.org/ 

International
Cette initiative de Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, et de Robert F. Kennedy, avocat, entre autres, traite les nombreuses incohérences dans la politique corona et s’adresse aux présidents de l’OMS, de la Commission européenne et du Parlement européen.
https://www.internationalfreechoice.com/

Belgique
Une initiative belge, signée par plus de 1000 médecins et professionnels de la santé. (3 septembre 2020)
http://omgekeerdelockdown.simplesite.com/?fbclid=IwAR2bJAAShAlIidjnRQPyVSoZbk1Uj-FTHAthL77hKX_Oo8aMLN3V6DdwAac

Une lettre ouverte lancée par un groupe de médecins des Cliniques Universitaires St-Luc, UCL-Louvain et qui peut être signée par tout le monde.
https://belgiumbeyondcovid.be/

[3] Pr. Toussaint : « Les tests se retournent contre nous à l’heure actuelle ! »

[4] Coronavirus – Les tests PCR inadaptés contre l’épidémie? « Jusqu’à 90% de personnes testées ne seraient pas contagieuses »

[5] Évolution du SARS-CoV-2 : mise à jour septembre 2020, Hélène Banoun

[6] https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/04/FD_Raoult_SARS-CoV-2_EID_Sep2020_vL2.pdf , Dramatic increase in the SARS-CoV-2 mutation rate and low mortality rate during the second epidemic in summer in Marseille, IHU

[7] La Covid-19 n’est pas une maladie qui concerne les enfants, 6 septembre 2020, les professeurs de pédiatrie Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie, et Régis Hankard, coordonnateur du réseau de recherche clinique pédiatrique Pedstart, sont formels : « la Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique ».

[8] Cluster of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) in the French Alps, February 2020

[9] No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020 separator commenting unavailable

[10] Transmission of SARS-CoV-2 in Australian educational settings

[11] SARS-CoV-2 infection and transmission in educational settings

[12] Research on the role of children in the spread of the virus aux Pays-Bas

[13] Coronavirus: what researchers know about the risk of reopening schools

[14] Face masks for the public during the covid-19 crisis, BMJ, 9 Avril 2020

[15] Covid-19: important potential side effects of wearing face masks that we should bear in mind, Response to Face masks for the public during the covid-19 crisis, BMJ, 20 April 2020 Antonio I Lazzarino, Medical Doctor and Epidemiologist Steptoe A, Hamer M, Michie S University College London UCL Institute of Epidemiology and Health Care

[16] Conseils sur le port du masque dans les espaces collectifs, lors des soins à domicile et dans les établissements de santé dans le cadre de la flambée due au nouveau coronavirus (‎‎2019-nCoV)‎ ‎

[17] Danemark : ce pays qui ne croit pas aux masques, 7 mai 2020 sur le site Le Point.fr. Le gouvernement danois déconseille d’en porter et les épidémiologistes sont si peu convaincus de leur utilité qu’ils ont lancé une étude sur le sujet.

[18] Desai AN, Aronoff DM. Masks and Coronavirus Disease 2019 (COVID-19). JAMA Published Online First : 17 April 2020. Doi :10.1001/jama.2020.6437

[19] Face touching: A frequent habit that has implications for hand hygiene, Am. J. Infect. Control, 1 Février 2015

[20] Effectiveness of Surgical and Cotton Masks in Blocking SARS–CoV-2 : A Controlled Comparison in 4 Patients, Ann Intern Med, 6 Avril 2020

[21] Kyung SY, Kim Y, Hwang H, et al. Risks of N95 Face Mask Use in Subjects With COPD. Respir Care 2020 ; respcare.06713. Doi :10.4187/respcare.06713

[22] Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), WHO (OMS)

[23] Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery, A Beder & al, Neurocirugia, 2008, 19, pp 121-126

[24] Chen Y, Zhou Z, Min W. Mitochondria, Oxidative Stress and Innate Immunity. Front Physiol 2018 ;9 :1487. Doi :10.3389/fphys.2018.01487

[25] Mask mandates may affect a child’s emotional, intellectual development, Dr. Mary Gillis, 23 juillet 2020. Young children especially rely on facial expressions to understand situations.

[26] Masked education? The benefits and burdens of wearing face masks in schools during the current Corona pandemicTrends Neurosci Educ. 2020 Sep; 20, 11 août 2020

[27] Simulated Sunlight Rapidly Inactivates SARS-CoV-2 on SurfacesThe Journal of Infectious Diseases, Volume 222, Issue 2, 15 July 2020, Pages 214 222, https://doi.org/10.1093/infdis/jiaa274. Téléchargeable en PDF

[28] Mask Facts, AAPS, Association of American Physicians and Surgeons, 1 Juin 2020.

[29] Small droplet aerosols in poorly ventilated spaces and SARS-CoV-2 transmission, The Lancet Respiratory Medicine, 1 Juillet 2020

[30] It is Time to Address Airborne Transmission of COVID-19, par Lidia Morawska et Donald K Milton, 2020, Published by Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

[31] The effects of social deprivation on adolescent development and mental health, The Lancet Child & Adolescent Health, Volume 4, Issue 8, 1 Août 2020.

[32] Baumeister RF Leary MR. The need to belong: desire for interpersonal attachments as a fundamental human motivation. Psychol Bull. 1995 ; 117 : 497-529

[33] Hawkley LC, Cacioppo JT. Loneliness matters: a theoretical and empirical review of consequences and mechanismsAnn Behav Med. 2010; 40: 218-227

[34] Sawyer SM, Azzopardi PS, Wickremarathne D, Patton GC. The age of adolescence. Lancet Child Adolesc Health. 2018; 2: 223-228

[35] Mask mandates may affect a child’s emotional, intellectual development, Dr Mary Gillis, 23 Juillet 2020.

[36] Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !, 21 Août 2020, par les docteurs G Delépine, chirurgien oncologue et N Delépine, pédiatre cancérologue.

[37] Septante médecins flamands demandent l’abolition du masque dans les écoles: « Une menace sérieuse pour leur développement »

[38] Les élèves devraient-ils pouvoir enlever leur masque une fois assis en classe ? 69,2% des personnes sondées disent OUI.

 

Pourquoi j’ai changé d’avis sur les masques

En mars dernier, j’étais convaincu de l’intérêt du masque contre
l’épidémie.

POURQUOI J’AI CHANGÉ D’AVIS SUR LE MASQUE

Chers amis,

En mars dernier, j’étais convaincu de l’intérêt du masque contre
l’épidémie.

Pour une raison simple : à l’époque, les pays où l’on se masque
au moindre symptôme étaient très peu touchés : Taïwan, Hong-Kong,
Corée, Japon.

Et puis, je croyais que le masque n’avait aucun inconvénient.

Donc, en pleine épidémie, par précaution, il me paraissait logique
de le généraliser, au moins dans les transports en commun.

Sauf qu’à l’époque, il n’y avait quasiment pas de masques en
France.

Vous vous en souvenez : même les infirmières et les médecins de
terrain n’avaient pas forcément de masque, alors qu’ils voyaient
des dizaines de malades tous les jours !

Aujourd’hui, on a tous les stocks de masque qu’il faut.

Mais aujourd’hui, on en sait beaucoup plus sur son efficacité
réelle !

En fait, absolument rien ne prouve que le port du masque généralisé
sert à quelque chose.

Et contrairement à ce que je croyais, le port du masque généralisé
peut avoir de lourds inconvénients !

Attention : il est clair que le masque reste absolument indispensable
pour les personnels soignants.

Car ils s’approchent de très près de nombreux patients contagieux,
tous les jours.

Et car ils savent utiliser le masque : ils en changent tous les 2 à 4
heures, savent éviter de les toucher et les jettent après usage,
plutôt que de les mettre dans leur poche ou leur sac.

Là-dessus, tout le monde est d’accord.

Mais tous les scientifiques sérieux sont d’accord, aussi, pour dire
que le masque ne sert à rien à l’extérieur.

Car les contaminations à l’air libre sont rarissimes.

Le seul risque en extérieur, c’est que des dizaines de personnes
s’agglutinent, s’embrassent ou se crient dessus, ce qui n’est
vraiment pas fréquent.

Et ce n’est pas tout.

Il faut savoir que les autorités de santé du monde entier
s’accordent pour dire qu’on n’est pas contagieux si on n’a pas
de symptômes !

Donc si vous n’avez pas de toux ou d’autres symptômes de la Covid,
vous ne risquez pas de contaminer les autres !

Cela veut dire que le masque ne se justifierait vraiment que pour ceux
qui ressentent des symptômes (et les soignants)… mais pas pour tout
le monde !

Mais, vous me direz, pourquoi ne pas appliquer le principe de
précaution ?

Puisque les masques ne coûtent quasiment rien, et qu’il n’est pas
risqué de les porter (c’est juste un peu inconfortable), pourquoi ne
pas en mettre le plus souvent possible, « au cas où » ?

Eh bien pour une raison simple : c’est que le masque n’est pas
inoffensif, loin de là.

D’abord, il faut savoir que le masque pourrait être dangereux pour
ceux qui ont la Covid !

C’est un ami médecin me l’a fait réaliser : quand on est malade,
on excrète du virus par le nez et la bouche… mais avez un masque, on
risque de les respirer à nouveau, ce qui pourrait aggraver la charge
virale et la maladie !

Pour ceux qui n’ont pas le Covid, le masque n’est pas non plus
inoffensif.

Voici la liste des effets négatifs, listés par l’Organisation
Mondiale de la Santé dans une circulaire du mois de juin[1] :

* risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de
manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains
contaminées ;
* auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale
n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de
micro-organismes ;
* mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type
de masque utilisé ;
* lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de
l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ;
* port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant;
* difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de
la lecture labiale ;
* désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par
les enfants, les personnes atteintes de troubles mentaux ou de
déficiences développementales, les personnes âgées atteintes de
déficiences cognitives, les asthmatiques ou les personnes souffrant
d’affections respiratoires chroniques, etc..

Et il ne faut pas oublier l’impact psychologique chez les plus
jeunes, difficile à mesurer mais assez inquiétant !

Pire, mal utilisé, le masque généralisé pourrait même accélérer
l’épidémie !

Comme le résume bien le Dr Pascal Sacré, le masque peut causer des
contaminations[2] :

* En augmentant la tendance à toucher son visage, sa bouche, son nez,
ses yeux.
* En favorisant la concentration des virus sur la couche extérieure du
masque.
* En donnant un faux sentiment de sécurité (qui conduit à moins se
laver les mains).
* En générant des facteurs qui vont neutraliser l’effet protecteur
du masque comme de parler plus fort ou de se rapprocher en deçà de 2
mètres pour se comprendre.
* En surpassant les capacités de défense immunitaires innées en
raison d’une charge virale plus importante et concentrée par le
masque devant les voies respiratoires.

Pensez-y : combien de fois touchez-vous votre masque pour le réajuster
??

S’il est plein de virus, ces virus vont directement sur vos mains…
puis un peu partout !

Bref, rien ne dit que les masques généralisés ne font pas plus de
mal que de bien !

Regardez ce qui s’est passé en Espagne : malgré l’obligation du
port du masque, les contaminations n’ont pas cessé d’augmenter !

Ce n’est pas une preuve définitive, mais c’est tout de même le
signe que les masques généralisés ne sont pas une parade décisive !

À l’inverse, en Suède, il n’y a quasiment plus aucun cas positif,
alors que le masque n’est obligatoire nulle part, même pas dans le
métro !

Voilà pourquoi j’ai lancé une pétition contre le port
généralisé obligatoire du masque [1].

Au moment où je vous écris, nous approchons des 100 000 signataires,
mais il faut continuer !

Transmettez ces informations autour de vous, brisons le mur du silence
des médias !

Je compte sur vous,

Guillaume Chopin

Pourquoi cette Hystérie Collective ?

Article de Xavier Bazin du site du site https://www.sante-corps-esprit.com/

Côté gouvernement et grands médias, c’est l’hystérie et la psychose : 

  • Masques obligatoires à l’école, dans la rue, sur la plage ;
  • Annonces répétées d’une augmentation « exponentielle» du nombre d’infections ;
  • Sonnette d’alarme tirée dans certains hôpitaux ;
  • Appels à rendre le vaccin anti-grippe obligatoire, pour soulager les hôpitaux cet hiver.

Et le Premier Ministre qui nous dit, tranquillement, que l’on restera comme ça tant que le vaccin anti-Covid ne sera pas trouvé.

Tout cela, alors qu’il n’y a aucun argument, au moment où je vous parle, pour justifier cet affolement.

Au contraire, beaucoup de signaux sont positifs.

Voici donc les 5 arguments anti-panique, à transmettre autour de vous !

Argument n° 1 : la mortalité reste au plus bas

On veut vous faire peur avec ce graphique, qui montre une augmentation du nombre de cas positifs :


Évolution du nombre de cas positifs en France, du 1er mars au 12 septembre 2020


Mais on oublie de vous montrer ce graphique-là, sur le nombre de morts :

Vous le voyez, malgré l’explosion apparente du nombre de cas, la mortalité reste au plancher, malgré un très léger relèvement.

Quant aux passages en réanimation, ils n’indiquent rien d’inquiétant non plus.

Il n’y a qu’une seule région de France (PACA, en violet sur le graphique) où ce nombre augmente un peu :

Bref, pour l’instant, absolumentrien n’indique une recrudescence inquiétante de l’épidémie.

Mais alors, comment expliquer qu’on ait autant de cas « positifs » et aussi peu d’hospitalisations et de morts ?

Argument n° 2 : beaucoup de cas « positifs » sont totalement factices

Une première explication, c’est que les cas « positifs » ne sont pas tous réels, loin de là.

Déjà, avec toute méthode normale de dépistage, on a 3 % de « faux positifs », c’est à dire des cas positifs qui n’en sont pas.

3 %, cela peut paraître faible, mais quand on fait 1 million de tests par semaine, cela fait tout de même 30 000 personnes diagnostiquées positives à tort.

Mais il y a beaucoup plus important.

En fait, un nombre incroyable de tests révèlent une infection passée, et non une infection en cours !

Oui, les tests « PCR » sont si puissants qu’ils peuvent détecter chez vous un virus mort depuis des semaines !

Donc vous pouvez avoir été infecté il y a 1 mois, vous en être sorti sans le moindre symptôme… et être diagnostiqué positif !

Cela dépend entièrement de la façon dont vous faites votre test.

Je n’entre pas dans les détails du fonctionnement des tests par PCR, mais retenez que plus vous faites des cycles d’amplification, plus vous avez des risques de trouver un cas positif à tort !

Avec 25 cycles, le minimum, vous êtes sûr à 100 % que la personne positive est bien en cours d’infection, et probablement contagieuse[1].

Mais avec plus de 40 cycles, comme cela se pratique un peu partout en France, vous avez d’énormes risques d’identifier un virus mort, donc une infection déjà ancienne.

Cela signifie que la grande majorité des personnes testées positives en France ne sont ni infectées, ni contagieuses !

La preuve : à l’IHU de Marseille, l’équipe du Pr Raoult réalise 35 cycles, ce qui est beaucoup plus raisonnable que 40 cycles.

Résultat : lorsque des cas testés positifs ailleurs se font re-tester à l’IHU de Marseille, ils sortent « négatifs » dans 30 à 40 % des cas !

Cela veut dire qu’au moins 30 à 40 % des cas positifs en France ne font que signaler une ancienne infection, avec un virus qui n’est plus du tout actif !

Et si on adoptait une norme encore plus stricte, à 25 cycles, il est probable que 90 % des cas positifs disparaîtraient, purement et simplement[2] !

Donc, s’il y a beaucoup de cas et peu de morts, c’est d’abord parce que certains cas positifs… n’en sont pas !

Argument n° 3 : le virus a muté, et semble moins dangereux

Mais il y a probablement une deuxième raison… et c’est que le virus a muté !

C’est le Pr Raoult lui-même qui l’a annoncé dans une vidéo postée le 8 septembre sur Youtube.

C’est manifestement une vérité qui dérange car :

  • Youtube a immédiatement censuré cette vidéo – puis accepté, finalement, de la republier ;
  • L’inénarrable Pr Karine Lacombe, égérie de Big Pharma, s’est empressée de contredire le Pr Raoult : « Le virus n’a pas muté et est exactement le même»[3] ;
  • Et le Premier Ministre a enfoncé le clou, dans son allocution du 11 septembre : « Tout confirme que le virus n’a pas baissé en intensité».

C’est un mensonge du Premier Ministre, probablement destiné à maintenir la vigilance des citoyens (et à avoir une rentrée tranquille).

Car l’équipe de chercheurs de l’IHU de Marseille sait de quoi elle parle.

Depuis février, elle a séquencé près de 700 génomes entiers du virus[4].

Et leur conclusion est formelle : « les séquences de l’épidémie de février à mai ont majoritairement disparu, et celles de l’épidémie actuelle (juin-août) appartiennent à de nouveaux génotypes ayant un taux de mutation beaucoup plus élevé ».

En clair, le virus qui circule aujourd’hui est très différent du virus de Wuhan de février dernier.

C’était parfaitement prévisible : dans la plupart des épidémies virales, le virus tend à muter vers une forme moins agressive.

Et pour le Pr Raoult, c’est clairement ce qui est en train de se passer :

« Depuis juillet, et l’apparition de ce deuxième acte, les génomes que nous avons ne sont pas les mêmes que ceux que nous avions avant, et ce n’est probablement pas une mauvaise nouvelle.

« Les mutations que nous voyons sont associées avec la dégradation des organismes du virus. Quand ça se passe, c’est que ça va mal pour la bestiole »[5].

Donc, le virus a bien muté, et il est certainement moins dangereux qu’avant.

Ce qui est une double mauvaise nouvelle pour les fabricants de vaccin, soit dit en passant.

Argument n° 4 : la majorité de la population a probablement DÉJÀ été infectée

Cela dit, même si le virus n’avait pas muté, il ne faudrait pas craindre une deuxième vague géante.

Pour une raison simple : c’est qu’une grande partie de la population a déjà été infectée !

Officiellement, on vous dit que 5 à 10 % des Français ont été infectés[6].

Ces chiffres viennent des mesures des anticorps anti-Covid, réalisés en mai-juin dernier.

Le problème de ces chiffres, c’est que beaucoup de gens n’ont pas d’anticorps dans le sang même, même s’ils ont bien été infectés par la Covid :

  • Soit parce qu’ils ont été très peu touchés, sans symptôme, et qu’ils n’ont même pas eu besoin de développer d’anticorps ;
  • Soit parce que les anticorps ont disparu – ce qui est le cas pour la majorité des gens, qui perdent leurs anticorps au bout de quelques semaines (encore une mauvaise nouvelle pour le vaccin)[7].

Bref, on est probablement très proche d’une immunité collective en France, surtout là où le virus a déjà beaucoup circulé, notamment en Ile-de-France et dans le grand Est !

On le voit déjà dans les chiffres actuels : les hospitalisations Covid sont au plus bas à Paris et à Strasbourg, alors qu’elles remontent dans les villes qui ont été peu touchées par la vague de mars-avril, comme Nice, Marseille, Toulouse ou Bordeaux.

Rappelons aussi que beaucoup de gens – les enfants en particulier – ont certainement déjà une immunité croisée, grâce aux coronavirus qui circulent habituellement et donnent des rhumes.

Bref, cela fait beaucoup d’arguments contre la possibilité d’une deuxième vague aussi mortelle que la première !

Certes, les régions de France où le virus a peu circulé ne sont pas à l’abri d’une relative résurgence, surtout avec l’hiver qui approche.

Mais il n’y a aucune raison de penser qu’on pourrait revivre la gravité de la pandémie de mars-avril dernier.

Aujourd’hui, « quand on teste et qu’on traite les malades, la mortalité est extrêmement faible », a résumé le Pr Raoult[8], qui n’est pas inquiet pour un sou.

Cela n’empêche pas d’être vigilant et prudent.

Avec les épidémies et les virus, on n’est jamais sûr de rien.

Mais c’est une raison suffisante pour arrêter de créer l’hystérie et la psychose dans la population !

Surtout qu’on a sous les yeux l’exemple réussi d’un pays qui n’a pas cédé à la panique : la Suède !

Argument n° 5 : la preuve par la Suède

La Suède a refusé de céder à la panique, et n’a pas confiné sa population.

Là-bas, tout est resté ouvert : les écoles, les restaurants, les cinémas.

Bien sûr, le gouvernement suédois a recommandé les gestes barrières élémentaires, et a interdit les rassemblements de plus de 50 personnes.

Mais la Suède n’a pas imposé le masque dans les transports en commun… et encore moins à l’air libre.

Et le résultat est là : la Suède n’a pas eu plus de morts de la Covid par habitant que l’Italie ou l’Angleterre, qui ont méchamment confiné.

De plus, on fera les comptes à la fin de l’année, mais je parie que la Suède a eu beaucoup moins de morts causées par le confinement – comme des crises cardiaques non prises en charge, des suicides causés par l’isolement, etc.

Quoi qu’il en soit, l’épidémie semble terminée en Suède.

Ces derniers jours, la Suède avait 13 personnes en réanimation, et environ 2 morts par jour, en moyenne.

Voici l’évolution du nombre de morts :

Les cas positifs sont aussi en train de disparaître : sur plus de 100 000 tests réalisés en une semaine, seuls 1,3 % sont revenus positifs[9].

Autrement dit, le virus a quasiment disparu en Suède.

Encore une preuve que l’immunité collective peut être atteinte beaucoup plus vite que prévu !

Alors stop à l’hystérie, stop à la panique.

Arrêtons de faire subir l’enfer à nos enfants (et nos enseignants), avec le masque 8 heures par jour, 5 jours sur 5.

En Allemagne, cela fait plus d’un mois que les écoles ont rouvert, sans distanciation (les enfants sont deux par bureau) et sans masque obligatoire… et il n’y a eu aucun foyer infectieux[10] !

Arrêtons l’absurdité du masque obligatoire dans la rue : à l’air libre, les risques de contaminations sont extrêmement faibles !

Respirez, vivez, aimez, avec SÉRÉNITÉ !

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : si vous avez apprécié cette lettre, transférez-la à vos contacts, c’est le seul moyen d’agir contre la psychose médiatique.

Quelques Chiffres

AVERTISSEMENT : Toutes les vidéos et autres informations que nous diffusons sur ce site ont été choisies en fonction des informations pertinentes et utiles qu’elles véhiculent. Cela ne signifie en aucune façon que nous sommes en accord et de façon inconditionnelle avec leur source.

Liberté 07 Pour préserver nos libertés

Quelques Chiffres

Côté gouvernement et grands médias, c’est l’hystérie et la psychose :
Masques obligatoires à l’école, dans la rue, sur la plage ;
Annonces répétées d’une augmentation « exponentielle» du nombre d’infections ;
Sonnette d’alarme tirée dans certains hôpitaux ;
Appels à rendre le vaccin anti-grippe obligatoire, pour soulager les hôpitaux cet hiver.
Et le Premier Ministre qui nous dit, tranquillement, que l’on restera comme ça tant que le vaccin anti-Covid ne sera pas trouvé.
Tout cela, alors qu’il n’y a aucun argument, au moment où je vous parle, pour justifier cet affolement.
Au contraire, beaucoup de signaux sont positifs.
Voici donc les 5 arguments anti-panique, à transmettre autour de vous !
Argument n° 1 : la mortalité reste au plus bas
On veut vous faire peur avec ce graphique, qui montre une augmentation du nombre de cas positifs :

 

 

 

Évolution du nombre de cas positifs en France, du 1er mars au 12 septembre 2020

Mais on oublie de vous montrer ce graphique-là, sur le nombre de morts :

Vous le voyez, malgré l’explosion apparente du nombre de cas, la mortalité reste au plancher, malgré un très léger relèvement.
Quant aux passages en réanimation, ils n’indiquent rien d’inquiétant non plus.
Il n’y a qu’une seule région de France (PACA, en violet sur le graphique) où ce nombre augmente un peu :

Bref, pour l’instant, absolumentrien n’indique une recrudescence inquiétante de l’épidémie.
Mais alors, comment expliquer qu’on ait autant de cas « positifs » et aussi peu d’hospitalisations et de morts ?
Argument n° 2 : beaucoup de cas « positifs » sont totalement factices
Une première explication, c’est que les cas « positifs » ne sont pas tous réels, loin de là.
Déjà, avec toute méthode normale de dépistage, on a 3 % de « faux positifs », c’est à dire des cas positifs qui n’en sont pas.
3 %, cela peut paraître faible, mais quand on fait 1 million de tests par semaine, cela fait tout de même 30 000 personnes diagnostiquées positives à tort.
Mais il y a beaucoup plus important.
En fait, un nombre incroyable de tests révèlent une infection passée, et non une infection en cours !
Oui, les tests « PCR » sont si puissants qu’ils peuvent détecter chez vous un virus mort depuis des semaines !
Donc vous pouvez avoir été infecté il y a 1 mois, vous en être sorti sans le moindre symptôme… et être diagnostiqué positif !
Cela dépend entièrement de la façon dont vous faites votre test.
Je n’entre pas dans les détails du fonctionnement des tests par PCR, mais retenez que plus vous faites des cycles d’amplification, plus vous avez des risques de trouver un cas positif à tort !
Avec 25 cycles, le minimum, vous êtes sûr à 100 % que la personne positive est bien en cours d’infection, et probablement contagieuse[1].
Mais avec plus de 40 cycles, comme cela se pratique un peu partout en France, vous avez d’énormes risques d’identifier un virus mort, donc une infection déjà ancienne.
Cela signifie que la grande majorité des personnes testées positives en France ne sont ni infectées, ni contagieuses !
La preuve : à l’IHU de Marseille, l’équipe du Pr Raoult réalise 35 cycles, ce qui est beaucoup plus raisonnable que 40 cycles.
Résultat : lorsque des cas testés positifs ailleurs se font re-tester à l’IHU de Marseille, ils sortent « négatifs » dans 30 à 40 % des cas !
Cela veut dire qu’au moins 30 à 40 % des cas positifs en France ne font que signaler une ancienne infection, avec un virus qui n’est plus du tout actif !
Et si on adoptait une norme encore plus stricte, à 25 cycles, il est probable que 90 % des cas positifs disparaîtraient, purement et simplement[2] !
Donc, s’il y a beaucoup de cas et peu de morts, c’est d’abord parce que certains cas positifs… n’en sont pas !
Argument n° 3 : le virus a muté, et semble moins dangereux
Mais il y a probablement une deuxième raison… et c’est que le virus a muté !
C’est le Pr Raoult lui-même qui l’a annoncé dans une vidéo postée le 8 septembre sur Youtube.
C’est manifestement une vérité qui dérange car :
Youtube a immédiatement censuré cette vidéo – puis accepté, finalement, de la republier ;
L’inénarrable Pr Karine Lacombe, égérie de Big Pharma, s’est empressée de contredire le Pr Raoult : « Le virus n’a pas muté et est exactement le même»[3] ;
Et le Premier Ministre a enfoncé le clou, dans son allocution du 11 septembre : « Tout confirme que le virus n’a pas baissé en intensité».
C’est un mensonge du Premier Ministre, probablement destiné à maintenir la vigilance des citoyens (et à avoir une rentrée tranquille).
Car l’équipe de chercheurs de l’IHU de Marseille sait de quoi elle parle.
Depuis février, elle a séquencé près de 700 génomes entiers du virus[4].
Et leur conclusion est formelle : « les séquences de l’épidémie de février à mai ont majoritairement disparu, et celles de l’épidémie actuelle (juin-août) appartiennent à de nouveaux génotypes ayant un taux de mutation beaucoup plus élevé ».
En clair, le virus qui circule aujourd’hui est très différent du virus de Wuhan de février dernier.
C’était parfaitement prévisible : dans la plupart des épidémies virales, le virus tend à muter vers une forme moins agressive.
Et pour le Pr Raoult, c’est clairement ce qui est en train de se passer :
« Depuis juillet, et l’apparition de ce deuxième acte, les génomes que nous avons ne sont pas les mêmes que ceux que nous avions avant, et ce n’est probablement pas une mauvaise nouvelle.
« Les mutations que nous voyons sont associées avec la dégradation des organismes du virus. Quand ça se passe, c’est que ça va mal pour la bestiole »[5].
Donc, le virus a bien muté, et il est certainement moins dangereux qu’avant.
Ce qui est une double mauvaise nouvelle pour les fabricants de vaccin, soit dit en passant.
Argument n° 4 : la majorité de la population a probablement DÉJÀ été infectée
Cela dit, même si le virus n’avait pas muté, il ne faudrait pas craindre une deuxième vague géante.
Pour une raison simple : c’est qu’une grande partie de la population a déjà été infectée !
Officiellement, on vous dit que 5 à 10 % des Français ont été infectés[6].
Ces chiffres viennent des mesures des anticorps anti-Covid, réalisés en mai-juin dernier.
Le problème de ces chiffres, c’est que beaucoup de gens n’ont pas d’anticorps dans le sang même, même s’ils ont bien été infectés par la Covid :
Soit parce qu’ils ont été très peu touchés, sans symptôme, et qu’ils n’ont même pas eu besoin de développer d’anticorps ;
Soit parce que les anticorps ont disparu – ce qui est le cas pour la majorité des gens, qui perdent leurs anticorps au bout de quelques semaines (encore une mauvaise nouvelle pour le vaccin)[7].
Bref, on est probablement très proche d’une immunité collective en France, surtout là où le virus a déjà beaucoup circulé, notamment en Ile-de-France et dans le grand Est !
On le voit déjà dans les chiffres actuels : les hospitalisations Covid sont au plus bas à Paris et à Strasbourg, alors qu’elles remontent dans les villes qui ont été peu touchées par la vague de mars-avril, comme Nice, Marseille, Toulouse ou Bordeaux.
Rappelons aussi que beaucoup de gens – les enfants en particulier – ont certainement déjà une immunité croisée, grâce aux coronavirus qui circulent habituellement et donnent des rhumes.
Bref, cela fait beaucoup d’arguments contre la possibilité d’une deuxième vague aussi mortelle que la première !
Certes, les régions de France où le virus a peu circulé ne sont pas à l’abri d’une relative résurgence, surtout avec l’hiver qui approche.
Mais il n’y a aucune raison de penser qu’on pourrait revivre la gravité de la pandémie de mars-avril dernier.
Aujourd’hui, « quand on teste et qu’on traite les malades, la mortalité est extrêmement faible », a résumé le Pr Raoult[8], qui n’est pas inquiet pour un sou.
Cela n’empêche pas d’être vigilant et prudent.
Avec les épidémies et les virus, on n’est jamais sûr de rien.
Mais c’est une raison suffisante pour arrêter de créer l’hystérie et la psychose dans la population !
Surtout qu’on a sous les yeux l’exemple réussi d’un pays qui n’a pas cédé à la panique : la Suède !
Argument n° 5 : la preuve par la Suède
La Suède a refusé de céder à la panique, et n’a pas confiné sa population.
Là-bas, tout est resté ouvert : les écoles, les restaurants, les cinémas.
Bien sûr, le gouvernement suédois a recommandé les gestes barrières élémentaires, et a interdit les rassemblements de plus de 50 personnes.
Mais la Suède n’a pas imposé le masque dans les transports en commun… et encore moins à l’air libre.
Et le résultat est là : la Suède n’a pas eu plus de morts de la Covid par habitant que l’Italie ou l’Angleterre, qui ont méchamment confiné.
De plus, on fera les comptes à la fin de l’année, mais je parie que la Suède a eu beaucoup moins de morts causées par le confinement – comme des crises cardiaques non prises en charge, des suicides causés par l’isolement, etc.
Quoi qu’il en soit, l’épidémie semble terminée en Suède.
Ces derniers jours, la Suède avait 13 personnes en réanimation, et environ 2 morts par jour, en moyenne.
Voici l’évolution du nombre de morts :

Les cas positifs sont aussi en train de disparaître : sur plus de 100 000 tests réalisés en une semaine, seuls 1,3 % sont revenus positifs[9].
Autrement dit, le virus a quasiment disparu en Suède.
Encore une preuve que l’immunité collective peut être atteinte beaucoup plus vite que prévu !
Alors stop à l’hystérie, stop à la panique.
Arrêtons de faire subir l’enfer à nos enfants (et nos enseignants), avec le masque 8 heures par jour, 5 jours sur 5.
En Allemagne, cela fait plus d’un mois que les écoles ont rouvert, sans distanciation (les enfants sont deux par bureau) et sans masque obligatoire… et il n’y a eu aucun foyer infectieux[10] !
Arrêtons l’absurdité du masque obligatoire dans la rue : à l’air libre, les risques de contaminations sont extrêmement faibles !
Respirez, vivez, aimez, avec SÉRÉNITÉ !
Bonne santé,
Xavier Bazin